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 Mayu Williams, Septième année.

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Mayu Williams
Elève de 7ème année ~ Gryffondor
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Mayu Williams


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MessageSujet: Mayu Williams, Septième année.   Mayu Williams, Septième année. EmptyLun 9 Mar - 19:59

    Prénom : Mayu.
    Nom : Williams
    Âge : 18 ans.
    Date de Naissance : 25 Juin 1990.
    Année d'étude : Septième année.
    Maison : Heu... A vous de décider ! =] Même si je la vois plus à Serpy. =O

    - - - - -

    Qualités : On lui a toujours fait savoir que c’était une excellente amie et qu’on pouvait compter sur elle quoi qu’il arrive. Fidèle et courageuse dans n’importe quelle situation. Mayu est pour ainsi dire une jeune femme de charme : belle et intelligente. Tout ce qu’elle a apprit, elle le doit à ses parents – surtout à son père, décédé. C’est une fille simple et plutôt joviale la plupart du temps. Elle a tendance à aider un peu trop les autres qui, parfois, ne le méritent même pas. Un vrai petit catalyseur cette jeune fille pleine de vie. Elle possèdent un vrai dont pour le dessin.

    Défauts : Après la perte d’un être cher, l’esprit de Mayu s’est quelque peu renfermé, devenue plus dure et plus autoritaire. Mais au fil des années, elle a apprit à vivre avec cette perte. Mayu s'énerve rapidement, trop rapidement, avant qu’on puisse lui expliquer quoi que se soit, la voilà en colère si c’est contre son idée personnelle. Parfois, certains gestes d’une personne ne lui plairont pas, et là aussi elle s’énervera. Elle peut vexer les personnes car elle dit toujours ce qu'elle pense. C'est peut-être pour cela qu'elle n'a pas eu vraiment d'amis dans ces premières années d’étude. Son péché mignon ? La gourmandise !

    Ce qu'elle aime : La métamorphose, le Quidditch, les friandises...
    Ce qu'elle n'aime pas : Les ventards, l'Histoire de la Magie, le chocolat !
    Particularités : Japonaise.

    - - - - -

    Physique : Des traits fins et bien ajustés… Sa peau est pâle et sent la pêche. Ses cheveux sont court et ont toujours une couleur voyante (Actuellement, le rose.) Elle les décore souvent de petites barrettes représentant des têtes de morts ou des fleurs. Mayu à un visage d’ange dont y est facile de voir ses sentiments : Petit nez, lèvres pulpeuse colorier d'une fine couche rougeâtre, yeux profonds qui sont ressortis par la couleur de ses cheveux.

    Style Vestimentaire : Côté vestimentaire, elle ne suis pas vraiment la mode et s'habille de façon très provoquant. Elle veut être distinguée des autres et ne pas leur ressembler. Un style plutôt Punk.

    - - - - -

    Animal de Compagnie : Un très petit chat blanc au nom de Taily.
    Autres à ajouter : Est-il possible d'occuper un post deQuidditch ? Si oui, j'aimerai Batteur s'il vous plait ! ^^

    - - - - -

    D'où avez vous connu le forum ? Je ne sais plus... xD
    Qu'est ce qui vous a poussé à vous inscrire ? Le graph' et de voir que c'était du style 'manga' ! =]
    Que pensez vous du forum ? Bah, à votre avis ? Sinon, je ne serais point dessus ! = ='
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Mayu Williams
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MessageSujet: Re: Mayu Williams, Septième année.   Mayu Williams, Septième année. EmptyLun 9 Mar - 20:00

    Histoire : °O Chapitre Un : Naissance.
    Lune interminable, univers opaque, grondement, tornade, séisme ! Rare étaient les moment de repos ; front contre genoux, bras autour de la tête, je pensais, j'écoutais, j'aspirais à ne pas exister car je savais que mon existence allait être méprisée. Mais la vie était là, transparente. J'étais aveugle. 'Qui suis-je ?' demandais-je à la Mort accroupie à mes pieds. Celle-ci grogna et ne répondit point. 'Où suis-je ?' demandais-je, entendant des rires ou des voix qui disaient : ‘Ce sera sûrement un garçon ! Il bouge, il a la rage en lui !!’ Peu lui importait qui je serais. J'étais déjà lasse d’attendre, d’être elle, le centre du monde. J'entendais murmurer que le garçon serait appelé Hiroki. On parlait de vêtements, de couches, de fêtes… On interdisait même de prononcer ce nom de peur que les démons s’emparent de mon âme.
    Au fond du lac, dans les eaux de couleur sépia, je pivotais, me recroquevillais, me déployais, pirouettais. De jour en jour, mon corps enflait, me pesait, m’étranglait… J'aurais voulu être une pointe d’aiguille, un grain de sable ou encore le reflet du soleil dans une goutte d’eau. Un souffle me soulevait et je me balançais. Je s’indignais contre moi-même, contre la femme qui était ma geôlière, contre la Mort mon unique amie. J'avais pitié de ces êtres fervents, avides et affables. Ils ne savaient pas encore que j'allais détruire leur monde pour reconstruire le mien. Ils ne savaient pas que j'allais apporter la délivrance par les flammes !

    Un nuit, je sursautais, les eaux bouillonnaient. Des vagues furieuses s’écrasaient contre moi. Blottie, je luttais contre la peur en me concentrant sur la respiration. Je glissais entre les rochers, mon corps saignait. Ma peau se déchirait… Tout d’un coup, quelqu’un me tira par les pieds et me tapa sur les fesses. La tête en bas, je vomissais mes pleures. On m’enveloppa dans un tissu qui m’écorchait. On entendit par la suite, la voix anxieuse d’un homme…
    « Garçon, ou… fille ? »
    Personne ne répondit. L’homme s’empara du bébé et tenta de déchirer son tissu mais on l’en empêcha.


    °O Chapitre Deux : Enfance.
    Une dizaines de femmes veillaient sur ma croissance. Trois me nourrissaient. L’une poussait mon berceau. Une autre agitait un éventail pour chasser les insectes volants qui s’était introduits dans cet univers parfumé. Mon appétit effrayait Je riais déjà. Mes yeux, grosses perles noires, roulaient dans leurs orbites. Je regardais le monde jour et nuit sans vouloir s’endormir. Mon agitation inquiétait Mère. C’est pour cela qu’elle avait fait appel à des moines exorcistes… Mais personne ne réussissait à expulser le démon qui m’habitait. On m'appela Mayu.

    A mes trois ans, mon existence donnèrent l’occasion d’une célébration. Mère avait fait ouvrir le pavillon au milieu de l’étang et avait réuni de la familles et des amis pour un banquet somptueux. Dans la salle entourée des eaux scintillantes, je circulais. On me caressait, me flattait. Une dame m’avait offert un bracelet de la couleur d'un Saphir. Elle était persuadée que mes yeux bleu exprimaient de l’intelligence. Une autre fit porter neuf lingots d’or sur un plateau d’argent, disant que mon front large présageait un avenir placé sous le signe d’un mariage riche et heureux. Mère était contente. Cette époque était celle où je vivais au Japon.

    Le royaume où Père régnait en maître absolu se divisait en deux parties. Le quartier du Devant était réservé aux hommes. Intendants, secrétaires, comptables, cuisiniers, pages, valets, écuyers, gardes, laquais s’affairaient dès l’aube. Militaires et fonctionnaires recevaient des ordres et s’en aillaient à cheval. Des troupes de soldats s’entraînaient toute la journée dans la cours latérale : La guerre faisait rage. Ce monde viril s’arrêtait devant un portail pourpre. Derrière le haut mur couleur neige, vivaient des centaines de femmes, vieilles, jeunes, fillettes… Elles portaient des chignons piqués de fleurs, des anneaux de jade noués à leur ceinture de soie. Elles se levaient à l’aurore et se lavaient au crépuscule. Fleurs du jardin de mon Père, elles s’épanouissaient pour concourir la beauté d’une seule personne. Balayeuses, servantes, tailleuses, brodeuses, porteuses, nourrices, cuisinières, gouvernantes, intendantes, dames d’atours, chanteuses, danseuses, elles s’avançaient lentement et parlaient à voix basses. Père était un Animagus et souhaitait m’apprendre cette discipline. Il m’initia alors, me l’apprenant chaque jour. C’était dur, mais je voulais réussir !

    Un jour, on appris le décès de Père. Le lendemain, dans l’ancienne chambre de Père, j’assistais à l’Appel de son âme. Le cercueil et les offrandes furent placés derrière un rideau à gaze. Les membres de la famille déchirèrent leurs vêtements et se frappèrent le front contre le sol en poussant des lamentations. Le sorcier dansa jusqu’à qu’une voix puissante s’élève de sa gorge. Face au Nord, où se situe le Royaume des Ténèbres, il agitait une tunique de Père et l’interpellait en chantant :

    « Ame, reviens !
    Pourquoi as-tu quitté ton corps ?
    Désolée et esseulée, tu erres aux quatre coins du monde !
    Ame, ne va pas à l’Est ! Là-bas, dix soleils ont asséché les mers, incendié les champs. Ils te séduiront par l’éclat de leurs flammes et te brûleront en cendres !
    Ame, arrête-toi devant le grand marécage du Sud ! Les serpents vénéneux s’enrouleront dans la boue et leur venin a empoisonné la brume. Ils se changeront en belles femmes nues et vêtues de colliers d’or. Elles t’étoufferont avec leur langue souple et boiront ton sang !
    Ame, ne va pas vers l’Ouest ! Les sables du désert dissimulent l’abîme du monde. Les tempêtes soulèvent les cailloux et blanchissent les squelettes. La terre gronde depuis la création de l’Univers. Les vautours aux trois yeux, les ânes sourds et aveugles se livrent une guerre éternelle.
    Ame, ne franchis pas les glaciers du Nord. Les ours aux neuf têtes gardent la porte céleste. Les flocons de neige couvrent les scorpions de jade qui guettent les âmes errantes. Leur venin pétrifie les vivants et liquéfie les morts !
    Ame, reviens à la maison ! Ici, la famille te fait l’offrande. Voici le riz blanc, le riz brun, le millet ! Voici la soupe au bœuf, le pot-au-feu de dinde, le sauté à la chair de tortue. Voici le vin de tous les pays, nectar terrestre, douce ivresse ! Voici le lit tendre, les couches de soie, les coussins moelleux, les belles femmes plus parfumées que les orchidées ! Ame, n’as-tu pas la nostalgie des regards tendres, des bouches charnues, des mains caressantes ? Ame, as-tu oublié les nuits d’amour, les plaisirs de printemps ?
    Ame, reviens à ton corps ! La fête commence et on attend que tu composes le poème de la célébration !
    Ame, te voilà ! Oublie les cris des fantômes, le monde sans ombre où la lune pâle ne se couche jamais. Te voilà qui reprend ton habit… ! »


    Le sorcier s’effondra. L’assistant sorcier retira la tunique d’entre ses mains inertes et s’éclipsa derrière le rideau..
    L’âme revint du Sud. Après une vie de conquêtes, de batailles et de défenses, Père, qui avait changé mon destin en quittant la terre de ses ancêtres, retourna à la maison natale. Sa fin rejoignait mon commencement…

    Dignitaires, fonctionnaires, parents lointains… Ils accoururent des quatre coins de la région. Je me mis à quatre pattes, entre Mère et Frère qui recevaient les présents condoléances. Je n’avais plus de larme, je n’avais plus de voix. Je cachais mon visage derrière mes manches et me tordais tout en poussant des cris. Je n’acceptais cette mort ! Pourquoi Père, ce héros pur comme un être céleste, parfais comme une disque de Jade, nous avait-il quitté ainsi ? Pourquoi son visage rayonnant s’effaçait-il déjà derrière les traits rustres de ses parents ? Leur démarche disgracieuse et leur voix empreinte d’un accent râpeux m’obsédait. Ces hommes avaient ses yeux, ses mains ses oreilles, sa barbe… Ils m’offraient des parcelles de laideur avec lesquelles je recomposais un autre père. Partout, son ombre rodait. Sans le dire à Mère, je m’étais rendue plusieurs fois au cimetière pour pleurer cet être cher, mon père… Dans un bois de bouleaux soigneusement entretenu, son tombeau se dressait aussi grand qu’une maison. Sur l’imposante stèle de pierre, je reconnu l’écriture de Père gravé pour l’éternité. Il contait la tristesse. Mon père, si près de son accomplissement, avait manqué son destin…

    Au village, le banquet battait son plein. De maison en maison, portes et fenêtres ouvertes, les invités trinquaient et dévoraient. Le port du grand deuil interdisait aux enfants du défunt le vin, la viande et les plats chauds. Prenant un soupe au riz froide à chaque repas, je devenais aussi légère que les monnaies funéraires que l’on répandait sur les routes. Fuyant les brouhaha, j’errais dans le méandre de passages et de galeries. Un jardin se dévoila. Les boutons-d’or jonchaient le sol. Des poiriers étaient en fleur. Quelques rocailles s’élevaient au milieu d’un étant minuscule.


    °O Chapitre Trois : Adolescence.
    Le regard des femmes changea. Je décelais dans leurs prunelles indignation et envie. Je reçu une lettre de Poudlard alors qu'on venait d'emménager en Angleterre. Mère était heureuse. Confinée dans mon appartement, je subis un traitement qui éclaircit ma peau brunie par le soleil. Mère était affolée. Elle me donnait des leçons de sorcelleries et d’habilités. Elle me farcissait l’esprit de ses recettes cosmétiques et médicinales. Elle veillait à la préparation de mon trousseau et m’expliquait tant bien que de mal le règlement de l'école. Ses monologues s’interrompaient, larmes et soupirs lui échappaient. Mon voyage au royaume des Divins était sans retour, je renonçais à jamais le monde extérieur.

    L’été passa et le rouge de mûres passa au noir dans les feuillages. Le jour de mon départ approchait. Petite Sœur ne me quittait plus. Son silence était le plus accablant des discours. Je ne savais pas comment la consoler, et je ne pouvais rien lui promettre. L’ardent désir de quitter la ville m’avait rendu insensible à leur souffrance.

    Bientôt, je fus à Podlard, vêtue d'une robe de sorcier et ayant tous le matériel digne d'une bonne élève. Bien sûr, durant toute ces années après le décès de Père, j’avais continué à apprendre à me transformer en un animal. J’avais presque achevé mon but, du moins, je croyais…

    Réception de la lettre : Le fait d’avoir reçu ma lettre pour mon inscription à Poudlard ne choqua personne de mon entourage, même moi. On était tous content bien sûr,. Dans ma famille, nous sommes tous des sorciers depuis plusieurs génération. La plupart de ma famille avait fait leur étude là-bas. D’ailleurs, certains d’entre eux prenaient un plaisir à me raconter comme était l’école, ses règles… Mes amis Moldus, eux, ne devait pas savoir où j’aillais vraiment. C’est pour ça qu’on leur avait juste dit que je faisais partie d’un échange Anglo-Japonais. Je leur avait expliqué tout de même que je pouvais les voir pendant les grandes vacances et celles de Noël.
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Albus Dumbledore
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MessageSujet: Re: Mayu Williams, Septième année.   Mayu Williams, Septième année. EmptyLun 9 Mar - 22:54

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